Lafin du monde en 2012, tout le monde en parle. C’est le sujet Ă  la mode en ce dĂ©but d’annĂ©e. La date fatidique est mĂȘme fixĂ©e pour le 21 dĂ©cembre 2012. Mais d’oĂč vient cette rumeur qui enfle sur le web ? 05 janvier 2012; Audrey; Temps de lecture moyen : 1'39; La fin du calendrier maya. Pour une fois Nostradamus n’y est pour rien
La prolifĂ©ration des rumeurs et des fausses informations avant l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2016 aux Etats-Unis et le rĂ©fĂ©rendum sur le Brexit au Royaume-Uni ont sonnĂ© comme un signal d'alarme pour les mĂ©dias traditionnels. L'urgence est de restaurer leur crĂ©dibilitĂ© en se plaçant aux avant-postes de la lutte contre les "fake news".Les grands mĂ©dias, souvent en partenariat avec des gĂ©ants de la technologie et des rĂ©seaux sociaux, se sont lancĂ©s dans la vĂ©rification des informations, le "fact-checking", et insistent sur leur volontĂ© de promouvoir un journalisme basĂ© sur les leurs efforts sont compliquĂ©s par l'utilisation politique qui est faite des mots "fake news", en particulier par le prĂ©sident amĂ©ricain Donald Trump, souvent prompt Ă  qualifier ainsi les mĂ©dias qui ne lui sont pas Les gardiens de la vĂ©ritĂ© -Les fausses informations sont aussi vieilles que le journalisme lui-mĂȘme. Mais la rapiditĂ© de propagation sur internet et sur les rĂ©seaux sociaux d'informations douteuses a profondĂ©ment changĂ© le rĂŽle de rempart contre le mensonge jouĂ© par les mĂ©dias exemple rĂ©cent, en Inde, est particuliĂšrement frappant. Des agressions et des lynchages ont Ă©tĂ© perpĂ©trĂ©s en juin dans l'Etat du Gujarat par plusieurs centaines de personnes convaincues de l'existence d'un rĂ©seau de trafiquants d'enfants. Ces vengeances trouvaient leur origine dans des rumeurs colportĂ©es sur l'application de messagerie rĂ©seaux sociaux ont "rendu les choses encore pires", souligne John Huxford, professeur de journalisme Ă  l'universitĂ© de l'Etat de l'Illinois. Ils permettent de "contourner facilement le garde-fou que reprĂ©sente le journalisme traditionnel et font en sorte que n'importe qui puisse publier n'importe quoi, que ce soit biaisĂ©, inexact ou fabriquĂ©", ajoute-t-il."Le rĂŽle des journalistes dans la dĂ©finition de ce qui est une information et de ce qui n'en est pas une a naturellement toujours Ă©tĂ© controversĂ©. Mais on voit bien aujourd'hui les effets nĂ©gatifs de la dĂ©composition de cette fonction", met-il en grands acteurs d'internet, aprĂšs une rĂ©ticence initiale Ă  se dĂ©finir comme des "mĂ©dias", ont eu une prise de conscience rĂ©cente. Ils cherchent de plus en plus Ă  faire le tri dans les informations qu'ils contribuent Ă  faire circuler en s'appuyant sur des sources "de confiance", la plupart du temps des mĂ©dias traditionnels."Qu'elles le veuillent ou non, les entreprises de technologie, dont Apple, Google, Snapchat, Twitter, et avant tout Facebook, ont repris la plupart des fonctions des mĂ©dias d'information, devenant des acteurs clĂ©s de l'Ă©cosystĂšme mĂ©diatique", notait en mars 2018 un rapport du Tow Center for Digital Journalism de l'UniversitĂ© de Des Fake news rapides comme l'Ă©clair -Plusieurs Ă©tudes ont montrĂ© que les fake news - souvent plus sensationnalistes que les informations exactes - se rĂ©pandent plus rapidement en ligne car les rĂ©seaux sociaux privilĂ©gient "la viralitĂ©"."Les fausses informations politiques circulent plus largement et plus en profondeur, atteignent un public plus nombreux et sont plus virales que n'importe quelle autre catĂ©gorie de fausses informations", note une Ă©tude du Massachusetts Institute of Technology MIT.En examinant rumeurs partagĂ©es par trois millions d'utilisateurs des rĂ©seaux sociaux, ses chercheurs ont montrĂ© que la vĂ©ritĂ© mettait six fois plus de temps que les fausses informations pour atteindre universitaires de l'institut d'Oxford soulignent que sur de nombreuses plateformes internet, les informations "sont hiĂ©rarchisĂ©es par des algorithmes complexes qui ont Ă©tĂ© programmĂ©s pour filtrer et livrer les contenus de maniĂšre Ă  maximiser l'engagement des utilisateurs", c'est Ă  dire pour inciter ceux-ci Ă  les commenter et Ă  les viralitĂ© d'un contenu n'est en rien liĂ©e Ă  son exactitude, Ă©crivent les chercheurs d' pourquoi le rĂŽle des mĂ©dias traditionnels est crucial. C'est Ă©galement pourquoi "il est si toxique que Trump qualifie faussement de fake news les mĂ©dias traditionnels", affirme le professeur John signes positifs apparaissent cependant, comme la hausse des abonnements numĂ©riques de journaux comme le New York Times et le Washington Post. Mais de nombreux mĂ©dias vĂ©nĂ©rables, plus petits, peinent Ă  adapter leur Nouveaux dangers pour les journalistes ? -Les journalistes font face Ă  de nouveaux risques dans cet environnement, critiquĂ©s par les hommes politiques alors qu'ils cherchent Ă  dĂ©busquer des BrĂ©sil, deux organisations spĂ©cialisĂ©es dans le "fact-checking", Lupa et Aos Fatos, qui ont Ă©tabli des partenariats avec Facebook, ont subi des menaces et ont Ă©tĂ© accusĂ©es de parti pris gouvernement philippin a abrogĂ© la licence du site internet Rappler, qui s'Ă©tait ralliĂ© aux efforts de vĂ©rification des informations endossĂ©es par le prĂ©sident Rodrigo Etats-Unis, les mĂ©dias bĂ©nĂ©ficient d'une solide protection constitutionnelle. Mais certains journalistes estiment que les attaques de Trump ont un impact sur la perception du public Ă  leur Quelle valeur pour le fact-checking ? -Dans ce contexte, le "fact-checking" est la valeur montante. On compte pas moins de 149 initiatives de ce genre, dans 53 pays, selon le Reporters Lab de la Duke a Ă©tabli des partenariats avec 25 mĂ©dias - dont l'AFP -, dans 14 pays, afin de freiner le flot de fausses les Ă©tudes montrent que le "fact-checking" a ses limites. Et que certains continueront toujours de croire aux fausses informations, quels que soient les efforts de 2016, un homme armĂ© avait tirĂ© dans une pizzeria de Washington parce qu'il croyait aux rumeurs affirmant qu'un rĂ©seau de trafiquants d'enfants impliquant Hillary Clinton y 51% des Ă©lecteurs rĂ©publicains aux Etats-Unis continuent de penser que Barack Obama est nĂ© au Kenya, ce qui, selon la Constitution, l'aurait empĂȘchĂ© d'ĂȘtre de ces deux rumeurs a Ă©tĂ© largement dĂ©montrĂ©e. Une Ă©tude a montrĂ© que les deux tiers des adultes amĂ©ricains se plaignaient de la confusion créée par les informations manipulĂ©es. Mais 23% d'entre eux reconnaissent avoir dĂ©jĂ  partagĂ© une fausse information, dont la moitiĂ© en connaissance de cause. © 2018 AFP DĂ©couvrezun saut incroyable en snowboard en vidĂ©o. News, accident. Lyon : la vidĂ©o buzz de l’accident de bus est en rĂ©alitĂ© un montage. News, buzz. Buzz :
Genre je vais sortir en boite quoi. Je voulais juste un topic qui ne bide pas. J'ai que des bides en ce moment Désolé Death M'enfin ça t'as occupé durant ce temps d'errance. Je pense que quiconque est sur un forum à 3h du mat' n'a rien à branler alors. jerry Enfoyray "Tout le monde" 5 personnes = Tout le monde ? Je ne savais pas. "Tes excuses" Bah j'm'en br*nle de ce que tu me dis. Pourquoi tu viens me parler là ? J't'ai pas demander de m'aider alors c*sse toi et fais pas chi*r lol. Moi j'ai des trucs a faire XLMP Posté le 7 octobre 2012 à 030236 "Tes excuses" Bah j'm'en br*nle de ce que tu me dis. Pourquoi tu viens me parler là ? J't'ai pas demander de m'aider alors c*sse toi et fais pas chi*r mdr le mec qui censure des mots comme fait pas chier. Enorme merci mec. Tu sais que j'en ai rien à cirer les oreilles ? J'aime les hommes mais ce message passera innapercu M'ouais c'était pas sympa, évite de faire ce genre de truc à l'avenir, profiter des gens c'est pas super. Bien le mec qui a besoin de mentir pour que son topic ne bide pas, alors qu'on en a rien à foutre de sa vie misérable, et qu'on le sait tous tu vas crever sous un pont avec un ordinateur portable, en utilisant la Wi-Fi d'un Mac Do de proximité? sale menteur !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oui il est fou Victime de harcÚlement en ligne comment réagir ?
Laphrase Ă  laquelle tout le monde a cru un jour . 40 691 J’aime · 5 en parlent. Date de crĂ©ation : O1/1O/2O11 ツ Date de crĂ©ation : O1/1O/2O11 ツ
Le Monstre du Loch Ness a-t-il existĂ© ? — 20 Minutes - OMF On l’appelle affectueusement Nessie. Pourtant c’est un monstre. La lĂ©gende du Monstre du Loch Ness hante l’Ecosse et mĂȘme le monde entier depuis des siĂšcles. Certains le guettent sous les remous du lac. Dragon, dinosaure, serpent gĂ©ant. D’aucuns le guettent dans les remous de l’eau. D’autres affirment l’avoir le monstre du Loch Ness, lĂ©gende fascinante ou rĂ©alitĂ© saurienne ? Dans tous les cas, beaucoup y croient. Mais si l’explication Ă©tait tout bonnement scientifique ? C’est ce que va nous expliquer cette semaine ClĂ©mence dans Oh My forts contre les fake newsOMF Oh My Fake sur Snapchat Discover, c’est le programme de 20 Minutes qui vous rend fort contre les fake news et plus largement vous invite Ă  comprendre les ressorts et biais psychologiques qui incitent au partage et Ă  la viralitĂ©. Au-delĂ  de savoir si C’est vrai ou c’est faux », l’important est plutĂŽt de comprendre Pourquoi on y a cru ? », en analysant les mĂ©canismes qui rendent les rumeurs, souvent fake, attractives au point que mĂȘme des esprits aguerris – comme les vĂŽtres ! – peuvent y succomber. Coronavirus, crise sanitaire, mouvements sociaux, en cette pĂ©riode, OMF Oh My Fake est plus que jamais un programme qui donne recul et esprit critique tout comme notre rubrique de fact checking Fake Off ». Et comme la saison 2 de ce programme est particuliĂšrement Ă©bouriffante et bigarrĂ©e, n’hĂ©sitez pas Ă  vous abonner. Vous pouvez le faire directement en scannant ce snapcode dans l’application Snapchat. Et promis, vous ne le regretterez pas. Unefausse information tirĂ©e d’une fausse capture d’écran du journal belge Le Soir. 5. Nicolas Dupont Aignan. HabituĂ© des fake news, Nicolas Dupont Aignan a par CrĂ©dits Pixabay Les “fake news” sont devenus un vĂ©ritable flĂ©au de notre sociĂ©tĂ© depuis qu’internet a totalement vulgarisĂ© la transmission de l’information. Tout le monde peut devenir lanceur d’alerte, et de petits malins en profitent pour faire de la dĂ©sinformation Ă  travers les fake news. Presque tous les secteurs sont touchĂ©s par le problĂšme, et les experts se mobilisent de plus en plus pour tenter de lutter contre les fake news en aidant la population Ă  dĂ©mĂȘler le faux du vrai. CrĂ©dits Pixabay Un petit groupe d’archĂ©ologues a ainsi dĂ©cidĂ© de se mobiliser contre la dĂ©sinformation dans leur discipline. Car il faut dire qu’il y a bien longtemps que l’archĂ©ologie est au cƓur des fake news. Les extraterrestres constructeurs de pyramides, ou encore l’Atlantide, sont quelques sujets phares des adeptes de la dĂ©sinformation. De plus en plus de gens croient aux fake news liĂ©s Ă  l’archĂ©ologie David Anderson, professeur d’archĂ©ologie Ă  l’UniversitĂ© Radford Virginie, est l’un de ceux qui ont dĂ©cidĂ© de se lever contre la dĂ©sinformation dans le domaine de l’archĂ©ologie. D’aprĂšs un reportage paru rĂ©cemment dans Science, les experts comme Anderson ont particuliĂšrement Ă©tĂ© alarmĂ©s par la derniĂšre Ă©dition du Survey of American Fears, un sondage annuel sur les peurs des AmĂ©ricains» menĂ© par une universitĂ© californienne. D’aprĂšs les rĂ©sultats de ce sondage, 40% des AmĂ©ricains croyaient en 2016 Ă  l’existence de civilisations avancĂ©es comme l’Atlantide, contre 57% en 2018. Idem, en 2016, seulement 27 % des AmĂ©ricains croyaient que les extraterrestres avaient visitĂ© la Terre dans le passĂ©, contre plus de 40 % en 2018. “Je ne sais pas trop ce qui est Ă  l’origine de la hausse de ces idĂ©es, mais des Ă©missions de tĂ©lĂ© les propagent, ainsi qu’Internet”, estime Anderson. Un combat contre les fake news qui s’annonce trĂšs difficile D’aprĂšs les archĂ©ologues, cette pseudoarchĂ©ologie » s’appuie trĂšs souvent sur des prĂ©misses erronĂ©es ou des idĂ©es prĂ©conçues. La SociĂ©tĂ© amĂ©ricaine d’archĂ©ologie a de son cĂŽtĂ© dĂ©cidĂ© de mettre la pseudoarchĂ©ologie Ă  l’ordre du jour de son congrĂšs cette annĂ©e pour tirer la sonnette d’alarme. Mais comme le signale Science dans son reportage “toutes les femmes interrogĂ©es pour cet article ont Ă©tĂ© victimes de harcĂšlement en ligne aprĂšs s’ĂȘtre attaquĂ©es Ă  des interprĂ©tations pseudo-archĂ©ologiques”. De quoi conforter les apprĂ©hensions des sceptiques qui pensent dĂ©jĂ  que ce combat contre les fake news risque d’ĂȘtre beaucoup plus compliquĂ© que d’aucuns l’imaginent.
\n\n fake news que tout le monde a cru
Top10 des mythes historiques auxquels tout le monde croit, mais qui sont faux. Par Pierre Galouise. le 10/07/2016. Catégorie : Histoire Vu en Une Il

Si vous trainez un peu sur les rĂ©seaux sociaux, ou Internet en gĂ©nĂ©ral, sĂ»rement avez-vous Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  une ou plusieurs informations parfaitement crĂ©dibles
avant qu’elles ne soient dĂ©menties quelques heures, voire quelques minutes plus tard. Car sur Internet tout va trĂšs vite, trop vite. Par exemple, le weekend dernier, Internet annonçait le dĂ©cĂšs d’un acteur de la sĂ©rie Malcom ; annonce heureusement avĂ©rĂ©e erronĂ©e quelques heures plus tard. Exemple typique de fake news ou information volontairement fausse. iProtego vous propose de dĂ©couvrir plus en dĂ©tails ces fake news et comment apprendre Ă  les reconnaitre pour ne pas ou plus tomber dans le panneau. Les dangers de la fake news Fait erronĂ©, information mensongĂšre, rumeur voire thĂ©orie du complot
la fake news revĂȘt de trĂšs nombreux aspects. Avec pour point commun celui de n’ĂȘtre absolument pas fondĂ©e et partisante de la dĂ©sinformation. L’ùre du partage en masse LĂ  oĂč cette dĂ©sinformation est redoutable, c’est qu’elle se propage en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. En effet, quelques clics suffisent Ă  la fake news pour faire le tour de la TwittosphĂšre ou des murs d’actualitĂ©s Facebook. Mais les rĂ©seaux sociaux ne sont pas les seuls moyens de diffusion de la fake news ; comment ne pas parler des systĂšmes de messagerie instantanĂ©e ? A l’annonce d’une nouvelle choquante, nous sommes nombreux Ă  nous ruer sur notre smartphone pour faire part de l’information Ă  nos amis. SMS, MMS, mails, appels, Whatsapp et Skype sont autant de moyens utilisĂ©s permettant d’abolir les frontiĂšres gĂ©ographiques et d’échanger dans presque les 4 coins du monde. Quand on sait par exemple qu’en une minute, 156 millions de mails sont envoyĂ©s Ă  travers le monde, on a un aperçu vertigineux de l’ampleur que peut prendre une information, aussi fausse soit-elle. La fake news se prĂ©sente alors comme une vĂ©ritable arme idĂ©ologique car plus de personnes la croient, plus de personnes la croiront. Sans oublier le fait que certaines IA se basent davantage sur la popularitĂ© d’une information que sur son contenu rĂ©el ce qui est pour l’instant le cas de Google Assistant , contribuant sans le vouloir Ă  partager et faire connaĂźtre de la dĂ©sinformation
 Quand crĂ©dibilitĂ© rime avec viralitĂ© Car ce qui rend la fake news propice au partage, c’est Ă©galement sa crĂ©dibilitĂ© au plus l’information sera plausible et au plus sa source semblera sĂ©rieuse, au plus la fake news sera puissante aux yeux des internautes et se diffusera comme une trainĂ©e de poudre sur les rĂ©seaux sociaux et sur la Toile de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Mieux vaut donc s’assurer de vĂ©rifier ses sources avant de partager Ă  tout va, voire mĂȘme faire preuve de patience pour attendre d’avoir le recul et l’aval de sources fiables sur la news en question. Le fact checking pour lutter contre la fake news Afin de luter contre la fake news, diffĂ©rentes mesures ont vu le jour Des mesures proposĂ©es par diffĂ©rentes plateformes Face Ă  la montĂ©e en puissance des fake news et du danger qu’elles reprĂ©sentent pour les internautes, plusieurs plateformes en ligne ont d’ores et dĂ©jĂ  pris des mesures de riposte. Facebook a par exemple mis Ă  jour ses algorithmes Ă  plusieurs reprises pour mieux filtrer les sites dits de mauvaise qualitĂ© comprendre qui publient des articles de dĂ©sinformation afin de lutter contre les spams et cette dĂ©sinformation. Cela se traduit concrĂštement par une visibilitĂ© bien moindre de ce type d’articles dans les fils d’actualitĂ©s des usagers Facebook. Il est Ă©galement possible par les usagers de signaler Ă  la plateforme la prĂ©sence de contenus fake . Ainsi, si vous ĂȘtes tĂ©moin d’un article de dĂ©sinformation, vous pourrez le signaler en suivant la procĂ©dure expliquĂ©e ici Par ailleurs, certains mĂ©dias disposent d’outils de fact-checking extension DĂ©codex » chez Le Monde, Desintox » chez LibĂ©ration ou encore le vrai-faux » des Ă©chos L’Ɠil vigilant de l’internaute Tandis que les rĂ©seaux sociaux sanctionnent des plates-formes de fake news, d’autres se crĂ©ent temporairement pour propager la dĂ©sinformation ; on a lĂ  un vĂ©ritable jeu du chat et de la souris Entre ceux Ă©tant des mĂ©dias informatifs et ceux qui se veulent mĂ©dias informatifs mais ne disposant d’aucun autre fondement que leur mauvaise foi et leur volontĂ© de nuire. Donc, si l’on doit choisir un conseil Ă  suivre en particulier, c’est celui de vĂ©rifier constamment vos sources la source de mon information est-elle fiable ? L’info a-t-elle Ă©tĂ© relayĂ©e par d’autres sources fiables ? Depuis quand la source a-t-elle divulguĂ© l’information ? Car certaines infos s’avĂšrent ĂȘtre des fake news relativement rapidement, alors avant de bondir sur votre clavier ou votre smartphone pour partager l’info, armez-vous d’un peu de patience et ne tombez pas dans le panneau ! À propos Articles rĂ©cents

Les10 plus grandes fake news auxquelles tout le monde a cru ! 16.06.2017 États-Unis : une Ă©tude prouve que les rĂ©fugiĂ©s rapportent plus qu’ils ne coĂ»tent 14.03.2017 Aux États-Unis, 83 % des lycĂ©ens les plus douĂ©s en science sont des enfants d’immigrĂ©s 17.03.2017 L’ISLAM INTERDIT-IL LA MUSIQUE ? 23.03.2017 Article mis Ă  jour le 27 avril 2021 par Fidel Navamuel Le web charrie le meilleur comme le pire. Dans la deuxiĂšme catĂ©gorie, on trouve bien sĂ»r les canulars et les fake news ou fausses informations. C’est parfois inoffensif mais il vaut mieux avoir de bons rĂ©flexes pour ne pas tomber dans le panneau du dernier canular ou hoax en anglais Ă  la mode. Si tout n’a pas la gravitĂ© des thĂ©ories du complot colportĂ©es par des groupes bien organisĂ©s, les rĂ©flexes sont les mĂȘmes. La prudence est toujours de mise avant de relayer une information issue du web ou des rĂ©seaux sociaux. Voici trois sites d’utilitĂ© publique qui vont vous aider Ă  dĂ©mĂȘler le vrai du faux. Trois sites pour dĂ©busquer les fake news et autres fausses informations. 1 – HoaxKiller3- Les dĂ©codeurs du MondeBonus – Le Decodex 1 -Hoaxbuster. S’il n’en reste qu’un. Hoaxbuster est le vĂ©tĂ©ran et la rĂ©fĂ©rence absolue en la matiĂšre. Cela fait des annĂ©es que les animateurs du site trackent les rumeurs qui circulent sur Internet. SantĂ©, environnement, politique, sociĂ©té  parcourir les rubriques du site permet de se replonger dans toutes ces rumeurs que l’on a entendues un jour et auxquelles on a cru parfois
 Le site propose aussi un moteur de recherche assez efficace pour chasser le dernier ouĂŻ-dire dans cette grande malle aux rumeurs. Pour chacune d’entre elles, Hoaxbuster les classe en trois catĂ©gories. Vrai / Faux ou encore du vrai ET du faux. Lien Hoaxbuster 2 – HoaxKiller Interface minimaliste pour cet autre moteur d’Hoax qui lui aussi tente de lister le plus grand nombre de rumeurs circulant sur le net. HoaxKiller propose une simple fenĂȘtre dans laquelle vous allez pouvoir Ă©crire simplement la rumeur que vous souhaitez vĂ©rifier. Comme Hoaxbuster, sa base de donnĂ©es s’enrichit rĂ©guliĂšrement de fausses informations repĂ©rĂ©es par les lecteurs eux-mĂȘmes. Lien Hoaxkiller 3- Les dĂ©codeurs du Monde La presse elle non plus n’est pas Ă  l’abri des canulars et des fausses nouvelles. Les grandes rĂ©dactions se sont ainsi dotĂ©es de cellules spĂ©cialisĂ©es dans le “fact checking”. C’est le cas du journal Le Monde qui a initiĂ© ce mouvement dans la presse. Les dĂ©codeurs sont devenus une rĂ©fĂ©rence. Un succĂšs mĂ©ritĂ©. Le site propose un suivi rĂ©gulier des informations qui font le buzz en France et Ă  l’étranger. Incontournable pour les rumeurs autour de l’actualitĂ©. Lien Les dĂ©codeurs Bonus – Le Decodex En bonus dans cette liste, Le DĂ©codex. Un service proposĂ© par le service des dĂ©codeurs du Monde dont on vient de parler. TrĂšs pratique le DĂ©codex permet d’entrer une url d’une page web ou le nom d’un site pour obtenir un premier avis sur la fiabilitĂ© de la source d’information. Le DĂ©codex vous dira en quelques secondes si la source est plutĂŽt fiable ou
non. Pratique, le DĂ©codex est Ă©galement proposĂ© sous la forme d’une extension pour votre navigateur Chrome ou Firefox. Une fois installĂ©e, elle vous permettra de vĂ©rifier en temps rĂ©el la fiabilitĂ© des sites que vous visitez. Lien Le DĂ©codex SiĂ  l’époque tout le monde avait cru Ă  une dĂ©cision plutĂŽt spontanĂ©e, il semblerait que le couple ait prĂ©parĂ© son coup depuis longtemps. C’est ce Sujet [FAKE] tout le monde a cru Fromage_de_glan MP 05 juillet 2010 Ă  194728 a mes topic sur wow cataclysm, mais enfati ej sui unt ype bien noraj Ju-Mw MP 05 juillet 2010 Ă  194752 OMG Fake En Français ? miiaouleminou MP 05 juillet 2010 Ă  194805 ceddu60-returns MP 05 juillet 2010 Ă  194825 ceddu60returns a vote service MidnightPosteur MP 05 juillet 2010 Ă  194850 Fromage_de_glan Olala. Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? igBC.
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